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FCF-Retrovision1

5 décembre 2013

Et maintenant ?

Le tome 1 de mes délires est terminé.

Si cela vous a plu, vous pouvez continuer leur découverte sur http://fcfretrovision2.canalblog.com/ où se trouve le tome 2.

Merci de votre visite.

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5 décembre 2013

A Droite toute …

Et oui, chez nous il faut rouler à droite.

Ce n’est pas parce que le volant de votre voiture est aussi placé à droite que vous pouvez rouler à gauche.

Le Cernésy – région de Cernés – est comme beaucoup de régions françaises, plus ou moins recherché par nos voisins britanniques qui sont venus s’installer avec leurs voitures à conduite à droite. 

Parmi ceux-ci une poignée d’irréductibles est restée fidèle à des modèles d’avant l’ère de l’électronique.

Aussi Cédric Lefort a-t-il décide de franchir le pas et d’embaucher un anglais pour s’occuper de ces voitures. Et de fils en aiguilles il en est venu à les importer d’occasion.

Ainsi, cet été alors qu’il venait de passer quelques jours avec Pedro Barbosa dont il connaît la passion pour les modèles des années 60/70 Gérard Manpassoif entraina-t-il ce dernier au hameau de Bielle.

Et là el Babosa tomba en admiration devant une Holden Premier que son propriétaire venait faire vérifier.

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5 décembre 2013

Le retour d’el Babosa

Pédro Barbosa est de retour à Ménoies sous Vairges.

Il vient d’arriver et est déjà en grande discussion avec Gérard Manpassoif.

Voici encore trois jours il était à Madrid et terminait de récolter des informations sur Torres-Molinos (cf. Un collectionneur espagnol mitraillé !). Il venait de découvrir que ce dernier, outre le fait d’être un collectionneur de voitures anciennes, était avant tout un puissant entrepreneur qui contribuait largement au mur de béton de Barcelone à Gibraltar.

Il profitait aujourd’hui de l’adhésion de l’Espagne à l’Union européenne pour s’étendre au nord des Pyrénées. Déjà présent en terre catalane française il avait prospecté – sans succès jusqu’ici – même sur le canton de Cernés. C’était ce qui avait motivé le retour d’el Babosa.

Mais au lieu de reprendre le volant de sa Dodge Dart, il avait pris un vol Madrid-Genève. En effet, profitant de ses relations avec Déborah Kha-Daires, surnommée Débar, la fille d’Ambar Kha-Daires et qui l’accompagnait (cf. Je roule pour vous), il avait profité du réseau des gens d’Aires pour se procurer une des dernières Rambler encore en circulation et en bon état. Celle-ci l’attendait à Sion, chez Alain Porta.

Puis, par la route il avait regagné Ménoies sous Vairges.

En chemin, sa nouvelle américaine se révélant goulue, il dut faire une halte qui lui fut cependant agréable ,grâce à Olivier Pin, menuisier de son état (1) qui lui indiqua le Grand garage de la Source tenu par un nostalgique de la fin des années 50.

Nous le retrouvons enfin en compagnie de Gérard Manpassoif.

- Cher Gérard, je suis très curieux de savoir pourquoi Torres-Molinos n’a pu s’implanter sur le canton de Cernés ?

- Je pense que cela est certainement lié au fait que depuis un certain temps, sept à dix ans environ, personne - étranger à la région -, n’y est parvenu. (2)

- Et sais-tu pourquoi ?

- Non ! D’ailleurs cela semble convenir à tout le monde car il n’y a pas eu de vagues jusqu’ici.

- Et bien tâche de gratter un peu car les portes s’ouvriront plus facilement pour toi.

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(1) Véridique

(2) Situation née de l’imagination de l’auteur. Il en sera de même pour les développements qui ne manqueront pas de suivre. Toute ressemblance ou similitude  ne serait alors que fortuite car cela va être du délire pur et simple.

5 décembre 2013

Circulez ! Il n’y a plus rien à voir

 

La venue de l’expert de la société Avapé – contraction de « Avaries et Périls » - désigné pour les vérifications du pont, n’est pas passée inaperçue.

Aussi, en l’absence de Pedro Barbosa, retourné à Madrid, c’est Gérard Manpassoif qui, continuant à suivre l’enquête sur la mort de Maurice Grainsoufflé, rôde autour du garage de Jack Selers.

- Alors, quelles sont vos conclusions ? interroge-t-il à son tour Marcel Auphane, le vérificateur.

- C’est bien simple, les fils ont été seulement inversés dans le boîtier de commande. Le matériel n’est pas en cause.

Nous voila bien avancés avec ça se dit Manpassoif en quittant les lieux. Popcorn éliminé avec comme qui dirait une corde à piano et un pont élévateur bidouillé …

Avant de rentrer chez lui il appelle el Babosa pour lui faire part de ces dernières informations.

- De mon côté, lui répond Pedro Barbosa, je ne suis guère plus riche car tout ce que j’ai pu glaner depuis mon retour c’est que Torres-Molinos a abandonné sa 2cv et qu’il avait acheté peu de temps avant sa venue à Lézieux-Cernés une Pegaso Z102 ayant appartenue à un ancien dirigeant du régime en place dans les années 50 et qu’il a retrouvée en Andorre. Mais je ne sais pas encore si ces deux événements sont liés.

- Pourquoi en vouloir à quelqu’un qui achète une voiture d’occasion, même si celle-ci a appartenue à un personnage dont on ne partage pas les idées ou les convictions ? Je pense que tu devrais chercher dans une autre direction ?

- T’as raison je vais m’intéresser davantage à Torres-Molinos… Tiens pendant que j’y pense, le bruit circule même ici, et quand je dis bruit, c’est plus qu’une rumeur, c’est un brouhaha. Que dis-je un brouhaha, c’est un vrai vacarme, la collection SIMCA est proche.

- Tu rigoles ?

- Pas du tout, y-en a même qui se sont aperçus que les photos publiées sur internet de la Grand Large qu’Ixo annonce sur son site n’a pas la même immatriculation (2549 BJ 59) que celle déjà proposée à la vente en Asie (2822 BB 13).  

Descendu dans la rue, Pedro Barbosa se dirigea vers la guérite d’un vendeur de billets de loterie qui était en fait, un de ses indics …

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5 décembre 2013

A la rencontre de Pedro Barbosa

 

Fais court m’a-t-on seriné maintes et maintes fois. L’internaute n’aime pas lire trop de texte.

Alors voila !

Pedro Victorino Josep Barbosa-Minguez, plus connu de nos lecteurs sous le nom de Pedro Barbosa, et aussi  appelé el Babosa, est issu d’une riche famille sévillane.

Il fit de brillantes études qui lui ouvrirent les portes de la haute finance espagnole au milieu des années 80.

Toutefois un accident de parcours l’envoya quelques années à l’ombre. Années au cours desquelles il eut tout le loisir de lire et fantasmer les aventures de Pepe Carvalho, le célèbre détective privé barcelonnais dû à Manuel Vàsquez Montalbàn.

Rendu à la vie civile en 1995, il créa une société d’audit réputée qu’il confia à un pro du métier et l’installa sur deux étages dans un immeuble ultra moderne adossé à un vieux bâtiment fin XIXème, donnant sur une rue adjacente.

Il en profita pour acquérir l’entresol de ce dernier et le relier par un escalier en colimaçon à son bureau.

Ainsi pouvait-il à tout moment s’échapper et rejoindre l’officine de détective privé qu’il venait de créer. Cela lui permettait d’assouvir sa passion des enquêtes. Et c’est dans cette officine que va démarrer la nôtre...

Bienvenue à Madrid.

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5 décembre 2013

Drôle de réveil matin !

 

Ce fut la sonnerie du téléphone qui le sortit de son sommeil alors qu’il avait passé la nuit à l’hôtel « Au lit on dort » (1) de Cernés. C’était Gérard Manpassoif qui l’appelait :

- Venez vite au garage de Selers, il y a du nouveau !

Et il raccrocha sans attendre. Interloqué Pédro Barbosa se précipita au cabinet de toilette et après une douche rapide, sans se raser, descendit prendre le volant de sa Dodge Dart pour aller sur place.

Parvenu aux abords du garage il fut intrigué par l’effervescence tranquille (2) qui y régnait. La police était là, les pompiers aussi.

Heureusement, Gérard Manpassoif lui fit signe d’approcher et le présenta à celui qui semblait conduire les opérations.

- Capitaine Henri Deveaulx, je vous présente Pédro Barbosa, détective privé madrilène qui s’intéresse à ce qui est arrivé il y a quelques jours à son compatriote Juan Torres-Molinos (3).

Les présentations faites, le trio pénétra dans le garage.

- Comme vous pouvez le constater, la victime a été écrasée par le pont élévateur qui s’est brusquement affaissé.

- J’étais là pour son inauguration il y a deux jours, rétorqua el Babosa. C’est surprenant qu’un matériel tout neuf puisse se révéler défectueux !

- Et pourtant voyez par vous-même avant que l’on emporte le corps.

Pédro Barbosa ne se fit pas prié deux fois et se pencha sur la victime. Il découvrit que c’était Maurice Grainsoufflé (4) qui avait éclaté sous la charge.

C’était celui qui avait ramené la 2cv de Torres-Molinos. Aussi l’examina-t-il du mieux qu’il put et se relevant il se tourna vers le capitaine Devaultx pour lui dire.

- A mon avis il était déjà mort lorsque le pont l’a écrasé.

- Et sur quoi vous basez vous pour conclure cela ?

- A la marque qu’il porte au cou et qui n’est pas due à un choc causé par ce pont ; l’autopsie devrait vous le confirmer.

- Quelle marque ? Je n’ai rien remarqué de tel !

El Babosa la lui montra, dissimulée dans un pli de chair, une marque laissée par quelque chose de très fin.

- A vous écouter nous serions en présence d’une mise en scène ?

- Oui, une macabre mise en scène.

Sur ce il prit congé en compagnie de Manpassoif qu’il invita à petit-déjeuner.

- Alors ? Le questionna le journaliste à la retraite, mais toujours sur la brèche.

- Quelqu’un est entré dans le garage pendant que « Popcorn » terminait son travail hier au soir et a profité qu’il lui tournait le dos pour agir. Sa victime envoyée ad patres, il lui fut facile de la disposer sous le pont et de faire descendre celui-ci.

- Reste à savoir comment il a opéré pour que sa commande soit toujours en position haute, releva Manpassoif.

- Exact, l’expertise devrait répondre à cette question.

- Mais pourquoi s’en prendre à Popcorn ?

- Je crois que je vais m’intéresser de plus près à ce Juan Torres-Molinos lui répondit el Babosa. Je retourne à Madrid pour quelques jours.

- Tiens-moi au courant.

- D’accord, et de ton côté tache de savoir ce qu’est devenue cette 2cv …

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(1) je sais, c’est toujours écrit « Au lion d’or » même si la peinture s’est un peu fanée avec le temps.

(2) l’utilisation factuelle de cet adjectif en d’autres lieux n’est que pure coïncidence.

(3) lire « Un collectionneur espagnol mitraillé »

(4) Maurice Grainsoufflé était surnommé Popcorn


 

 

 

5 décembre 2013

Le mystère du bois des amants

 

C’est en lisant FCF (l’ex Feuille de Choux Farcie) le lendemain matin devant son café noir qu’el Babosa, où si vous préférez, Pedro Barbosa décida de s’intéresser au mitraillage du collectionneur espagnol.(lire "Un collectionneur espagnol mitraillé")

Se trouvant au comptoir de la mère Adèle il demanda aux quelques clients matinaux si quelqu’un pouvait lui indiquer où cela c’était passé.

- Moi je peux, ça c’est passé au bois des amants ! C’est Marcel qui s’est retourné et répond.

- Je peux même vous y conduire, c’est sur mon chemin pour rentrer à la ferme, le temps de finir mon verre et je suis à vous. 

Quelques instants plus tard Pedro suivait Marcel au volant de son Acadiane. Arrivés dans le bois Marcel s’arrêta et rejoignit el Babosa qui avait quitté sa Dodge.

- C’est ici que çà s’est passé.

- D’après le journal Torres-Molinos aurait essuyé les coups de feu alors que sa voiture ralentissait à cause de la pente.

- Et alors ?

- Mais ça descend !

- Erreur mon gars, t’es comme les gendarmes … pas du pays … et t’as tout faux.

- Expliquez-moi.

- Pourquoi que ce bois s’appelle le bois des amants ? Parce que les gars y amènent les filles pour leur montrer le truc et que ça finit souvent en galipettes.

- Quel truc ?

- L’illusion dont vous avez été victime tout à l’heure. La route ne descend pas dans notre sens, elle monte. Seuls les gens d’ici le savent et en profitent pour épater les gens de passage… Tiens, remonte dans ta voiture et mets toi au point mort… tu crois que tu vas avancer… lâche le frein à main.

- En effet, je recule… pourtant j’aurais juré que j’allais partir en avant.

- C’est pourquoi les gendarmes se sont trompés en déclarant que l’Espagnol allait sur Lézieux-Cernés, en fait il en revenait.

- Donc, si je suis votre raisonnement celui qui lui a tiré dessus ne se trouvait pas face à nous … mais derrière …

- Ouais, il devait se trouver de ce côté de la route, à la limite de la clairière là bas.

 

 

- J’ai trouvé s’écria soudain Marcel en se relevant… regarde des douilles de balles qui ne sont là que depuis peu … même pas salies.

- Bravo Marcel, je vous dois une fière chandelle. L’enquête ne fait que commencer.

C’est alors que Barbosa se rend compte qu’ils ne sont pas seuls. En effet, à quelque distance il distingue le cabriolet 403 de l’inspecteur Colombin… pardon, du Lieutenant Colombin et en fait part à Marcel.

- Oh c’est que Jean Poseun lui répond ce dernier.

- Qui ? je croyais que c’était Colombin.

- Ouais c’est bien ce que j’ai dit, c’est « Cul de Jate »… ou comme vous dites, Jean Colombin, le flic.

- Pourquoi ces surnoms bizarres ?

- Parce qu’il a toujours le cul posé dans sa bagnole et qu’il n’en descend que pour bouffer ou pis..r.

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C’est en observant les photos qu’il avait prises que Gérard Manpassoif découvrit l’étrange silhouette apparue sur ses clichés. Il prit contact avec Pédro Barbosa qui le rejoignit. Ensemble ils les examinèrent très longuement.

- Pourtant je suis certain qu’il n’y avait personne, dit Gérard.

- Et sur les photos il y a quelqu'un, mais qui ?

- C’est le mystère du bois des amants, s’écria Manpassoif en partant dans un énorme rire …

Et vous, chers lecteurs, qu’en pensez-vous ?  (photos non retouchées)


 

5 décembre 2013

Un collectionneur espagnol mitraillé !

Il semblerait que cette manifestation, pourtant bonne enfant, n'ait pas été du goût de tout le monde.

Alors qu’il rentrait de son reportage sur la manifestation des collectionneurs mécontents de Lézieux-Cernés, Gérard Manpassoif reçut un appel sur son portable l’invitant à se rendre au garage Citroën de Vairges la Montagne pour enquêter sur l’agression dont avait été victime un collectionneur. 

Gérard Manpassoif arriva peu de temps après l’arrivée de la dépanneuse qui remorquait une 2cv6 dans un piteux état.

Il prit quelques clichés pendant que Gédéon Edéba faisait un dernier constat.

Celui-ci lui apprit que Juan Torres-Molinos, collectionneur espagnol de passage à Cernés avait essuyé des coups de feu alors qu’il se rendait à la manifestation, coups de feu qui l’avait envoyé au fossé, sans gravité pour lui qui s’en était sorti avec des égratignures et quelques hématomes, mais surtout une belle peur.

Qui avait tiré ?

L’enquête ne fait que commencer lui répondit Gédéon en repliant son carnet.

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502_GR02_Collectionneur_met


 

5 décembre 2013

Manifestation des collectionneurs à Lézieus-Cernés

 

C’est à l’appel du C.P.R. (Club des Papys Râleurs) qu’une manifestation de collectionneurs mécontents s’est déroulée dans la bonne humeur dans les rues de Lézieux-Cernés. L’équipe de Vidéauto était présente pour couvrir cet événement particulier.

Nous la retrouvons sur place au moment où Gaspard Loth interview le président du M.C.Z. (Mini Club Zieuté) : M. Jean Aymard du Tacot.

 -         M. Jean Aymard du Tacot, quel est l’objet de cette manifestation ?

-         Comme vous pouvez voir sur nos slogans, nous en avons assez des doublons qui se multiplient dans les collections de presse, pire que des lapins …

-         Que voulez vous donc ?

-         Ce que nous voulons, c’est de l’inédit … de la nouveauté … ou des variantes

-         C'est-à-dire ?

-         Qu’à partir d’un même moule il est possible d’obtenir plusieurs modèles différents. Tenez un exemple : à partir du moule d’une Aronde 1957 berline il est possible d’avoir la Deluxe dépourvue de baguettes chromées latérales et de déflecteurs aux vitres avant, l’Elysée avec et aux sièges avant séparés, l’Elysée Matignon avec carrosserie bi-colore, etc. Au lieu de cela nous avons plusieurs éditions de l’Elysée.

-         Mais ce modèle n’est pas encore sorti il me semble !

-         C’est exact mais c’est pour vous donner un exemple de ce qui se produit actuellement soit au sein d’une même collection, soit entre plusieurs. Heureusement que certaines se terminent bientôt.

-         Et quelles sont vos attentes ?

-         A part la réduction des doublons qui restent inévitables, question rentabilité, nous espérons voir prochainement une collection consacrée aux voitures étrangères importées en France autour des années 1980 et une autre consacrée à Simca.

-         Sur quoi vous appuyez vous ?

-         Sur les annonces faites sur certain forum et sur des bruits qui sont plus que des bruits de couloirs … mais excusez-moi il faut que je reprenne ma place dans le cortège. Merci et au-revoir.

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5 décembre 2013

Le courant d’Aires

 

Le courant (la mode, la tendance) d’Aires est né avec l’automobile moderne, au début des années folles.

Gaétan Daires, ayant eu de la chance aux jeux alors que sa femme était aux eaux, n’eut de cesse de s’offrir une puissante torpédo.

Non content de celle-ci, il acheta aussi le garage.

Ce fut le point de départ de la saga automobile des gens d’Aires. Son amour pour cette voiture, et pour l’automobile en général, l’incita à communiquer sa passion à son entourage.

Ainsi, au fil des ans, plusieurs membres de la famille ne manquant pas d’air, se lancèrent dans différents métiers automobiles, principalement dans leur négoce.

Actuellement, au sein d’une holding « Les gens d’Aires », chaque centre d’activité est bâti selon le même plan de manière à en réduire les coûts de construction et de gestion.

Voici celui où l’on restaure de vieilles voitures pour le cinéma ou pour des passionnés aisés, dont la gérante est Irma Daires dont le mari, spécialiste en cinématique, n’est autre que Peter Ladousse.

Nous assistons au chargement d’un cabriolet Facel-Vega FV (1) puis à la sortie de deux Aston-Martin DB5 en vue du tournage d’un remake de Goldfinger dont on vient enlever certains éléments de décors, également réalisés ici.

 

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  (1) que M. James Lefrick, industriel en bois à Ménoies sous Vairges avait commandé l’année dernière et réalisé à partir d’un coupé, réalisant ainsi son rêve d’avoir une réplique du prototype réalisé par Jean Daninos. (cf. les meilleures Feuilles de Choux Farcies)


 

 

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  • FCF-Rétrovision1 est la reprise de la première série de délires qui figuraient sur un site aujourd'hui fermé. Il vous appartiendra de les replacer dans le contexte de leur époque. Certains permettaient de montrer des modèles inédits.
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